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Publicité pour un fascicule : Maisons
de rapport.
Librairie de la Construction Moderne AULANIER et Cie, Editeurs, 13, rue Bonaparte,
à Paris |
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Maison Avenue de Noailles 31
à Lyon de Mr Isaac COLLOMB, architecte.
Monographies de Bâtiments modernes, 34ième livraison, maisons à
loyer – page 25. |
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Maison Avenue de Noailles 31
à Lyon de Mr Isaac COLLOMB architecte
Monographies de Bâtiments modernes, 34ième livraison, maisons à
loyer – page 26. |
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Maison Rue du Luxembourg,
à Paris de Mr H. P. NENOT, architecte.
Corniche et console de l’entablement
Balcon du 2ième étage, Consoles du balcon du 1er étage et du
bow-window
Monographies de Bâtiments modernes, 65ième livraison, maisons à
loyer – page 56. |
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Immeuble Boulevard de la République à Agen
« Plan 1
Maison de Mr. J. Lanes
Plan de la façade
Agen. »
Source : Archives Départementales de Lot-et-Garonne |
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Façade de gauche avec sa composition d’origine, façade de droite
modifiée.
Immeuble à Nérac, 3ième quart du XIXième siècle,
maître d'oeuvre inconnu.
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Façade ornée de pignons.
Immeuble à Nérac,
2ième quart du XIXième siècle, maître d'oeuvre inconnu.
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Les Immeubles de Rapport
Définition : Immeuble « Dans une acception restreinte,
le mot immeuble désigne une demeure divisée à la construction
en appartements pour plusieurs particuliers. Un immeuble de rapport est un immeuble
construit ou acquis pour être loué. »
Source : Ministère des Affaires Culturelles, Vocabulaire de l’architecture,
page 159.
Caractéristique du XIXème siècle, l'immeuble
de rapport est en fait apparu au XVIIIème siècle. Aussi appelé
« immeuble à loyer », il était destiné à loger
plusieurs familles et procurait un revenu confortable à son propriétaire.
Il a donc accompagné la poussée démographique des grandes villes.
Si l'on construit de nombreux immeubles de rapport à Paris dans les années
1823-1828, ce n'est qu'à partir du milieu du XIXème siècle que
cette tendance se ressent à Agen.
Ces immeubles, souvent conçus sur cinq étages, abritent au rez-de-chaussée
un commerce, puis sont composés de la manière suivante :
- le premier étage est entresolé,
- le deuxième est nettement plus haut,
- le troisième et le quatrième sont sensiblement de la même hauteur
et le cinquième est légèrement plus bas, en partie engagé
sous la toiture.
La hauteur des immeubles atteint vingt mètres en moyenne en 1860.
Lorsque les rues sont plus étroites, les dimensions sont moindres.
C'est au cours de ce même siècle (XIXème siècle)
que les décors qui ornent les immeubles évoluent. La fonte est de plus
en plus sollicitée pour les constructions ; les moulures en plâtre également.
On retrouvera ces dernières sous forme d'éléments sculptés
aux encadrements des fenêtres, aux balustrades et aux portes d'entrée
d'immeubles. |
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